La pierre sèche… tout un art

Murets, clapas, calades, abris, capitelles : des pierres, des gestes et un savoir-faire…

Un paysage façonné par les hommes et les femmes du Pays

Entendez-vous le souffle des hommes et des femmes qui ont épierré les terres pour pouvoir les cultiver ? Imaginez-les édifier des constructions pierre après pierre, sans liant. Posez votre main sur une pierre et écoutez…

Ici, la mise en culture du sol a demandé des efforts considérables. Il fallait retenir la terre sur les flancs des collines et épierrer les parcelles… La pierre, récupérée et utilisée sans liant, a ainsi servi de matériau pour diverses constructions.

Clapas, murets et chemins caladés, cabanes et abris résonnant au doux nom local de capitelles ou carabelles, terrasses appelées faïsses, restanques ou bancels, constructions hydrauliques telles que les pansières et les béals  : la pierre sèche fait rimer ingéniosité, patience et savoir-faire…

Véritable trait d’union entre la nature et l’homme, la pierre sèche raconte l’histoire de ceux qui ont façonné le territoire du Pays d'Art et d'Histoire. Elle vous invite à la découverte des terroirs, des paysages et des usages…

Un patrimoine précieux

La pierre sèche raconte l’histoire de ceux qui ont façonné le paysage. De murets en terrasses, de calades en capitelles, la pierre sèche faite rimer ingéniosité, patience et savoir-faire…

La pierre sèche vous invite à la découverte de la géologie, des paysages, de l’histoire des hommes et de leurs gestes ancestraux…

En 2018, l’UNESCO a inscrit l’art de la construction en pierre sèche sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.